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La barre réalisée initialement pouvait frotter sur le caisson, je me suis donc offert une nouvelle barre pour Noël. Partant de trois "chutes" de lambris de pin, j'ai réalisé l'ébauche en lamellé collé (époxy) puis découpe, ponçage, .... . Ci-contre les ultimes ajustages dans la tête de safran |
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Après le 7 couches de vernis marine, la nouvelle barre est prête pour la saison. |
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Comme expliqué précédemment dans ce blog, j'avais utilisé le reste des lèvres en mylar du 470 pour l'Europe. Mais si la longueur du puits du 4'7 permet la souplesse, sur l'Europe cela s'est arraché avant la fin de saison et c'était relativement dur. J'ai ensuite essayé du caoutchouc, chambre à air de voiture, un peu souple, du scotch de chantier collé directement sur la coque, ça a permis de terminer la saison.... |
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Après quelques recherches, je me tourne vers la toile à voile. Après quelques essais de collage, la colle néoprène semble la mieux adaptée après dégraissage à l'acétone. En fait, il y a 4 lèvres, et un des deux plis dépasse de l'axe de 1 à 2 mm. |
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Pour éviter le collage de la partie centrale, un ruban adhésif papier est interposé, puis enlevé ensuite. Bien laisser sous presse pour le "sèchage", puis découpe et collage également à la colle néoprène sur la coque. Vivement sur l'eau !! |
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Pour avoir planné sur Moth-Europe (voir Historique) dans les années 70 (c'était l'époque ..), je rêvais d'y replonger .... tant que suis assez souple pour passer sous la bôme !
J'ai trouvé un BOUTEMY de 1977, N° de série 0128, IYRU N° de coque jaugée 0371, N° voile 4216. Malgré son âge, il est sain, pas de décollement pont-coque au liston, ou caisson-coque à l’intérieur.
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Les caissons et le pont sont renforcés par de nombreux omégas, dont on peut voir les légères déformations en lumière rasante.
Le gelcoat est peu craquelé, bref, j'ai craqué!
Photos à l'origine
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| Après une saison et quelques régates locales, dans le Gers :
"Le bonheur est dans le ...largue "
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Retour au "chantier naval". Démontage de tout l’accastillage, …. Au travail ! (On perçoit les déformations dues aux renforts sur le pont)
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Un peu d’histoire … L’Europe dérive de la série « Moth », jauge à restriction des années 30 où longueur, tirant d’air et d’eau, surface de voile etc. .. sont limités. Cette série très populaire au milieu du XX° (siècle), permettait l’auto-construction. (voir les célèbres ouvrages « Construis toi-même … » dont je garde avec nostalgie un exemplaire qui concerne le Moth). Ce sont les Moths classiques, qui perdurent particulièrement chez les Anglo-saxons, si amateurs de belles coques,. (d’ailleurs, leurs embarcations sont féminines) look at my Europe, she is so nice ! |
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Puis est apparu le Moth International, jauge élargie, plus toilé, plus extrême, d’abord en version « low rider » (vole-bas ??). L’étape ultime (aujourd’hui ?) est le Moth sur Foils à aile rigide, qui fait toujours 3,35m de coque !
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Voir les liens : - Classic Moth –US- : - Asso Moth classique -Fr- : http://louis.pillon.pagesperso-orange.fr/moth/ - Quelques superbes moths classiques-Fr-: https://picasaweb.google.com/101863867379244810177 /200109RencontreDeSuceSurErdre# - IMCA -Fr- : http://mothimca.free.fr/historique.php5 - Moth international : http://www.moth-sailing.org/imca/faces/news.jsp - Moth international –F- : |
