27 juillet 2015
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21:28
| FOC
Le bateau était équipé de rails longitudinaux, à la manière des modèles de début des années 70. (voir photo "réparation")
-D'origine, en 68 il n'y a qu'un filoir sur le caisson et le taquet, sur le caisson opposé mal placé sous le derrière de l'équipier ...
J'ai donc formé les rails à la forme du caisson, que j'ai fixé avec des inserts filetés expansibles (l'outillage est très cher, mais on peut se servir d'une pince à rivets pop, une tige fileté de 4 détourée à 3,2 et une entretoise).
Deux poulies de renvoi au pied du puits, deux clam-cleats et le barber est opérationnel! |
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Pour renvoyer l'écoute vers l'équipier, deux platines portent un filoir et le taquet juste derrière.
Pour conserver le bateau dans son jus et éviter trop de perçages, les platines sont prises sur les vis des bancs.
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Plus récemment, pour reculer la position du renvoi, j'ai fait deux nouvelles platines reculées, cette fois avec deux poulies de renvoi et le taquet derrière.
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| Le trajet de l'écoute est meilleur et la manoeuvre plus douce avec la poulie. |
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| Pour l'avenir, j'envisage de modifier le barber-hauler suivant le shéma ci-contre qui permet de se passer de rail. |
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| GV
La poulie sur cable des "vieux" 4'7 n'est pas très agréable.
Un support en CP marine se reprend dans le passage de cable de la fausse quille, à la place du taquet sur le puits et sous la barre d'écoute: pas de trou supplémentaire percé! |
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Plus tard il a reçu une tourelle et une poulie winch, le confort!
Les flancs du support reçoivent les taquets de drisse, balancine de Spi, relevage dérive ....
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Suite à vos demandes, voici les dessins des platines de foc :
2004, petite platine
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2007, longue platine
(pour accèder au dessin seul, positionner la souris sur le dessin puis click droit "ouvrir l'image dans un nouvel onglet")
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Et également les dessins du support de tourelle de GV.
Bon bricolage !
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Published by EricP
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27 juillet 2015
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21:26
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Ecoute et bras
C'est un seul bout' en continu, il fait donc le tour, il doit faire au moins 18 m!
A l'arrière il y a symétriquement, deux fois deux poulies de renvois, sur le caisson et sur le tableau.
A l'usage, celles du tableau suffisent.
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Ne pas oublier le "balcon" , fil d'inox placé sur la cadène ou sur la plaque ridoir à trous, qui évite a l'écoute de passer sous la coque!
Le tangon est toujours l'original en bois, qui a une "solide" réputation de fragilité, mais on ne tire pas trop sur ces vieilles coques! |
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Pour la balancine de tangon, un élastique (dia ~12) est frappé sur le mat, à l’autre bout, un œil reçoit une boucle pour le tangon, et une poulie.
Un bout' est fixé sur l’étambrai, passe dans la poulie, revient le long du mat jusqu’au pied où une poulie l’envoie sur un taquet à l’arrière de la dérive .
Pas de « barber hauler », sur ces vieux modèles, mais j'ai mis des axes sur la plaque à trous de haubans, avec une tête large et en forme de champignon (procurable dans tous les shipshandlers..), qui permet de tenir vers le bas l’écoute (sous le vent) ou le bras qui a tendance à monter. |
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Le paradis?
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Published by EricP
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27 juillet 2015
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/2015
21:25
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Pour en revenir au gréément de 1968, voici comment sont prévues les drisses et leur blocage.
Côté grand voile, la drisse en cable est terminée par une longue boucle et un petit maillon de chaine, la drisse textile est épissée dans le maillon.
A l'étarquage, lorsque le point de jauge (trait noir ) est atteint, la boucle du câble est passée dans une crémaillère.
Sur la photo ci contre on voit la drisse remontant de la poulie en pied de mat vers la crémaillère un peu cachée par l'étambrai en tube. |
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Pour le foc la configuration de la drisse est identique à la GV .
Sous le levier d'étarquage, un câble est relié à une chaine munie d'un crochet, on prend la drisse sur ce crochet.
Puis on passe un maillon de la chaîne dans le crochet du levier d'étarquage et on le bascule pour étarquer. ---------------------->
A l'âge du bateau, je garde une tension raisonnable, pour avoir un étai assez raide pour le près, mais ne pas trop solliciter la coque et les cadènes!
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Published by EricP
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27 juillet 2015
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21:23
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Pour les 50 ans du 470,
.......... et les 45 ans de mon fringant coursier, je me suis attaqué à l'hiloire (ou brise lame) en bois.
Les 24* couches de vernis. commençaient à pâlir et, en deux endroits, au centre et tribord le contreplaqué se délamine.
* (3 couches tous les 5 ans, même avec un petit ponçage, font 24 couches, ne comptant pas l'original du chantier MORIN!)
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Comment enlever ce vernis?
Après essai de ponçage manuel, puis à la ponceuse, la meilleure solution s'est révélée le grattage, à l'aide d'un brave OPINEL.
Puis un ponçage de finition pour retrouver une couleur de bois homogène, bien que le grattage donne un très beau fini.
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Dans les zones délaminées, j'ai coulé de la résine epoxy, puis mis sous presse.
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Et pour finir les sept couches de vernis exotique "Le Tonkinois" :-) , recommandées par Neptune (ou bien Poséïdon, suivant l'époque).
Maintenant, ça brille!
Et c'est reparti pour 50 ans!
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Published by EricP
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